Il y a des échéances qu’on ne peut pas louper et la date du CAP blanc en est une ! Cette semaine a sonné le glas du dernier mois. La formation n’est pas encore finie et se poursuivra encore un peu après cette journée. Néanmoins, je ne peux empêcher mon cerveau d’égrainer les jours, calculer le temps qu’il me reste pour me préparer. Oh my God ! Les révisions, il ne faut pas oublier les révisions !

Le CAP blanc arrive avec son lot de questions
Quatre mois c’est extrêmement court pour se former au CAP Pâtissier. Quand en plus l’examen blanc est au début du quatrième mois et que se greffe une semaine de vacances entre tout ça… Le stress monte. Les questions se bousculent dans ma tête. Vais-je être prêt pour le CAP blanc ? Ai-je été assez studieux ? N’aurais-je pas dû me préparer plus ? N’avons-nous pas mis trop de temps à nous lancer ? Suis-je vraiment fait pour ça ?…
STOP !
Tous ces doutes sont peut-être légitimes, mais je crois qu’il faut faire confiance au corps enseignant. Cela fait plus de dix ans que nos professeurs enseignent. L’école a fait ses preuves et le taux de réussite est de 100% depuis quelques années maintenant. On nous a clairement fait comprendre que nous n’étions pas en retard sur le programme. Nous sommes même plutôt studieux lorsqu’il s’agit de chercher l’inspiration. Alors pourquoi toutes ces interrogations ?

Sortir de sa zone de confort et ne pas perdre le cap
Je pense que cela vient de l’instabilité. Ce moment où l’on sort de sa zone de confort pour essayer d’améliorer son quotidien, sa vie. Si les premières semaines de la formation n’étaient que pur plaisir, le rythme et les exigences sont aujourd’hui tels que le point de déséquilibre est atteint. Mon cerveau émerge de son mode automatique, m’assaille de doutes, se remet en question et tente de me faire rejoindre, au plus vite, une routine réconfortante.
Heureusement, je m’étais préalablement préparé, renseigné sur les avantages et inconvénients de mon futur métier. Du coup, j’essaye de faire la sourde oreille, de ne pas m’écouter, de traverser cette petite zone de turbulence. Je vous rassure, je prends toujours autant de plaisir, tous les jours. En fait, cette satisfaction ainsi que la concrétisation de mon projet – très prochainement – me permettent de tenir. Ne reste plus qu’à être un étudiant studieux et je suis sûr que tout se passera très bien.

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